Éthologie équine et nanotechnologies
Il faut débuter cet article par de sincères excuses concernant mon inactivité sur ce blog. Il existe autant de manières d’expliquer ce relâchement que de façons de cuisiner un œuf. N’en déduisez pas non plus que mes journées puissent être entièrement consacrées à la cuisine. Je souhaitais simplement donner une image qui parle à tout le monde.
De toutes mes activités récentes, j’ai choisi de vous parler de ma dernière participation au colloque sur les nanotechnologies au service de l’éthologie équine comme vous l’aurez compris grâce au titre de cet article. Durant cette journée, d’illustres chercheurs et spécialistes du comportement équin et de la science de l’infiniment petit se sont relayés afin d’établir des corrélations entre ces deux sciences avec pour finalité de mettre l’une au service de l’autre. Ces spécialistes sont arrivés à l’admirable conclusion qu’aucune des techniques de nanotechnologie ne pouvait être empruntée afin d’aider à la compréhension du comportement équin.
J’accepte vos remarques qui pourraient juger cette découverte de plate voire nulle. Mais messieurs dames, l’avancée de la science c’est aussi de constater que des choses ne sont pas possibles.
Alors oui, pour vous faire plaisir on aurait pu implanter de minuscules puces électroniques dans le larynx d’un bourrin, ce qui aurait grandement augmenté son agressivité par la gêne occasionnée. Alors là, elle aurait été belle l’avancée de la science. Espèce de monstres !